La startup hollandaise Lightyear se lance dans la fabrication d’une voiture « anti-recharge électrique » qui fonctionne uniquement grâce à l’énergie solaire. Ce modèle berline, appelé One, sera doté de cellules photovoltaïques dans son toit afin de produire l’énergie nécessaire pour être autonome pendant 800 km. En une journée la voiture serait capable de recharger ses batteries. Une prise électrique est tout de même prévue et donnera jusqu’à 40 km d’autonomie pour une heure de charge.
La vente de cette voiture est prévue dans un premier temps en petite série, sur 2019, avec seulement une dizaine de modèles disponibles. Puis, la production s’étoffera sur 2020, avec une centaine de voitures distribuées prévues, pour la modique somme de 119 000€ HT !
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HighVolt est le projet le plus important de recherche collaborative de l’Institut de Recherche Technologique (IRT) Saint Exupéry, à Toulouse, qui entreprend le développement des nouvelles générations de composants et systèmes électriques, notamment pour rendre l’avion + électrique. Toutefois, ce projet vise également les filières de l’automobile et du ferroviaire dans leur transition énergétique.
Ce projet fédère beaucoup d’entreprises puisque ce dernier comprend actuellement une douzaine d’industriels allant du groupe international, comme Alstom, à la startup Aixoise, Nawa Technologies.
L’objectif principal de ce projet est d’amener la filière aéronautique vers le tout électrique. Pour cela, les travaux amènent à la compréhension des phénomènes physiques qui favorisent le vieillissement prématuré des composants et des isolants utilisés dans la filière, ainsi que de trouver de nouveaux composants et systèmes plus performants et plus robustes. Une fois cela réalisé, le but sera de développer des briques technologiques normalisées à toute la filière.
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La 3D investit les ateliers afin de faciliter la gestion des lignes de production.
La startup française Iteca a développé une application 3D, Witty3D, accessible depuis PC ou smartphone, permettant de pouvoir piloter et agir sur les machines à distances ainsi que de donner des instructions aux opérateurs. Cela se réalise grâce à l’intelligence artificielle, la réalité augmentée et la réalité virtuelle qui retranscrivent des scènes 3D en temps réel.
Dans cette même logique, une seconde startup française, Perfect Industry, utilise la 3D en temps réel afin de faire remonter sur le modèle 3D de la ligne de fabrication des données analysées dans le but d’améliorer le Taux de Rendement Synthétique (TRS).
Pour réaliser cela les 2 startups utilisent le moteur 3D Unity.
La nouvelle vague du développement de l’industrie 4.0 utilise donc la 3D temps réel pour accéder aux données analysées par l’IA et le big data.
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